SECONDE PARTIE. De l’action du feu employé comme instrument
chimique par la voie humide.
résultats analogues, c'est-à-dire, à peu près semblables.
SECONDE PARTIE.
De l’action du feu employé comme instrument chimique par la voie humide.
Je vais essayer de faire connaître un instrument employé continuellement par les
chimistes, instrument dont ils ne peuvent se passer, sans lequel ils ne peuvent
faire aucune analyse, et cependant qu'ils méconnaissent tellement, qu'ils
attribuent à d'autres causes les résultats de son action, et de ses facultés.
Cet instrument est la matière du feu, agissant, non à nu, mais par la voie
humide, dans toutes sortes de dissolutions et dans les fermentations
intestines.
Dans une science quelconque, lorsqu'une erreur (fût-elle l’unique) s'introduit
dans ses principes fondamentaux, l'influence de cette erreur porte
nécessairement sur la théorie entière. Toutes les conséquences alors sont
défectueuses, je puis même dire fausses, quoique pouvant être établies par des
hommes d'un grand mérite et d'un jugement très-solide ; en un mot, quoiqu'on ne
puisse pas
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